exposition personnelle
L’exposition réunit six œuvres qui, au delà de leur autonomie, contribuent à représenter une série de mouvements : arrêts, accélération, freinage. Au moyen de la vidéo, du son et de la lumière, ces rythmes définissent trois ambiances distinctes. Airport’s Project invite à s’asseoir dans des fauteuils en forme de coquillage, pour y visionner une vidéo, The Soap. Ces fauteuils en suggèrent un habitat ajusté au corps humain. Le spectateur fait face au geste répétitif d’une personne qui se lave les mains jusqu’à épuisement du savon.
L’œuvre Sans titre (D’où elle vient la neige?) est un rideau fait d’éléments métalliques en forme de cristaux de neige. Il scinde l’espace, obligeant le public à franchir ce qui paraît être une barrière mais qui n’est en réalité qu’un passage.
Chairs rassemble neuf sculptures mobilier (en forme de couvercle de boites de sardines). Cette pièce évoque la rencontre, le dialogue et la reproduction industrielle. Elle met dans une fausse situation physique le spectateur qui parcourt cet environnement mais ne peut l’utiliser. A contrario, l’installation Hip hop permet de s’investir grâce à un jeu de néons et de pulsations lumineuses.
franck scurti
Né en 1965 à Lyon.
Vit et travaille à Paris.
Le travail de Franck Scurti explore les relations entre l’art et la réalité sociale ainsi que la mise en place des conditions de leur utopique rencontre. Il fait ainsi souvent appel à l’espace urbain et élabore principalement ses productions à partir d’objets familiers. Franck Scurti oriente ses recherches sur l’image, le statut et le fonctionnement des choses immédiatement identifiables.
En observant les choses et les comportements qui en résultent, il étudie leurs représentations et met en scène leurs symboliques. Dès lors il les détourne de leur sens propre, les réinvestit et leur attribue de nouvelles fonctions. En prise directe avec le réel, son travail génère des questionnements sur notre environnement privé ou social.
L’exposition réunit six œuvres qui, au delà de leur autonomie, contribuent à représenter une série de mouvements : arrêts, accélération, freinage. Au moyen de la vidéo, du son et de la lumière, ces rythmes définissent trois ambiances distinctes. Airport’s Project invite à s’asseoir dans des fauteuils en forme de coquillage, pour y visionner une vidéo, The Soap. Ces fauteuils en suggèrent un habitat ajusté au corps humain. Le spectateur fait face au geste répétitif d’une personne qui se lave les mains jusqu’à épuisement du savon.
L’œuvre Sans titre (D’où elle vient la neige?) est un rideau fait d’éléments métalliques en forme de cristaux de neige. Il scinde l’espace, obligeant le public à franchir ce qui paraît être une barrière mais qui n’est en réalité qu’un passage.
Chairs rassemble neuf sculptures mobilier (en forme de couvercle de boites de sardines). Cette pièce évoque la rencontre, le dialogue et la reproduction industrielle. Elle met dans une fausse situation physique le spectateur qui parcourt cet environnement mais ne peut l’utiliser. A contrario, l’installation Hip hop permet de s’investir grâce à un jeu de néons et de pulsations lumineuses.
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